Les erreurs fréquentes à éviter avec la facturation électronique

Les erreurs fréquentes à éviter avec la facturation électronique

La réforme de la facturation électronique avance à grands pas. Si vous êtes une TPE, PME ou auto-entrepreneur, mieux vaut éviter certaines erreurs classiques qui pourraient retarder votre mise en conformité ou générer des complications avec l’administration fiscale. Voici les erreurs les plus fréquentes, et comment les éviter.

 

1. Attendre le dernier moment pour s’y mettre

Beaucoup d’entreprises pensent avoir “encore le temps”. Pourtant, certaines étapes comme le choix du bon outil ou l’adaptation de vos processus prennent du temps. Ne pas anticiper, c’est risquer une mise en conformité précipitée, coûteuse et partielle.

 Ce qu’il faut faire :

  • Se renseigner dès maintenant sur les nouvelles obligations
  • Choisir un logiciel déjà compatible avec les formats valides
  • Former vos équipes et tester votre process à blanc

 

2. Penser que le PDF suffit

Un PDF, même signé, ne suffit plus à partir de 2026. Il faut désormais un format structuré lisible par les plateformes de dématérialisation.

Ce qu’il faut faire :

  • Utiliser un format valide : Factur-X, XML UBL ou CII
  • Vérifier que votre outil les génère automatiquement

 

3. Négliger la TVA et les seuils

Une erreur fréquente consiste à ignorer l’impact de la réforme sur vos obligations de déclaration de chiffre d’affaires et de TVA, notamment si vous approchez du seuil des 25 000 €.

 Ce qu’il faut faire :

  • Suivre en temps réel vos montants de facturation
  • Recevoir des alertes pour anticiper le dépassement des seuils

 

4. Multiplier les outils non connectés

Certains pros utilisent encore un logiciel pour faire les devis, un autre pour facturer, et des tableurs pour suivre la TVA. Or, la réforme impose un système cohérent, centralisé et compatible avec la plateforme de l’administration.

Notre conseil : Optez pour une solution tout-en-un, simple et 100 % conforme.

 

5. Ne pas tester son processus avant la deadline

Le passage à la facturation électronique implique plusieurs tests : génération des formats valides, envoi via plateforme, réception, archivage. Ne rien tester en amont, c’est risquer une paralysie en septembre 2026.


FAQ – Ce qu’on vous demande souvent

La facture PDF sera-t-elle encore autorisée ?

Non. À partir de septembre 2026, seul un format structuré (Factur-X, XML UBL ou CII) sera accepté. Un simple PDF, même signé, ne suffira plus.

Mon logiciel actuel ne propose pas de format structuré. Que faire ?

Vous devez passer à un outil compatible avec la réforme. MY. Facturation intègre déjà les formats valides, sans configuration technique.

Faut-il absolument passer par une plateforme de dématérialisation ?

Oui, vous devrez obligatoirement transmettre vos factures via une PDP ou une plateforme de l’État, selon votre statut.

 

Pour aller plus loin

 

  

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